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LE SCANDALE DU CIRQUE DE PARIS
15/05/2009 19:56
SOURCE : GAÏA
A Halle, ils sont partis en laissant derrière eux un poulain mort et une vraie pagaille. A Beersel, Berchem-Sainte-Agathe et Ternat, ils ont menti et trompé les différentes administrations communales ainsi que les propriétaires des emplacements. Ils ont placardé des affiches partout sans autorisation et ont circulé dans les rues avec des lions, toujours sans autorisation. A Ternat, ils ont aussi abandonné leurs déchets à leur départ. Quel que soit l'endroit, ils se fichent éperdument des normes légales en matière de bien-être animal. Cirque de Paris : une flopée d'escrocs sans foi ni loi.
Aucun enclos extérieur, tel que l'impose la loi, pour les lions, les lamas, les chameaux, les buffles, les chevaux et les poneys. Des enclos intérieurs (beaucoup) trop petits. Pas de paille sur le sol, comme l'impose la loi ; aucun bac à sable pour les lamas, ce qui est pourtant obligatoire également. La plupart des animaux sont enchaînés à l'extérieur, à un poteau ou à un camion, ce qui est strictement interdit. A Berchem-Sainte-Agathe, GAIA a constaté que des crottes jonchaient le sol de la cage intérieure des lions et que les animaux étaient assis dans leurs propres excréments. A Berchem-Sainte-Agathe, un habitant voisin a observé comment ils tapaient sur un lama pour le faire sortir du camion. A Halle, le propriétaire de l'emplacement a trouvé un poulain mort après le départ du cirque.

A Halle, Beersel et Ternat, ils ont déclaré aux bourgmestres respectifs qu'ils n'avaient pas d'animaux (sauvages), se faisant passer pour un cirque pour enfants avec quelques clowns. A Halle, ils ont consommé sans autorisation de l'eau et de l'électricité sur le compte de la commune et ont menacé l'autorité locale. Ils ont placardé des affiches partout, à nouveau sans la moindre autorisation. La seule commune à les avoir effectivement expulsés est la commune de Drogenbos. GAIA a appelé les communes concernées à élaborer des mesures préventives et à intervenir fermement contre ce genre de cirques mafieux. A Halle, nous avons rencontré le bourgmestre, les échevins, les fonctionnaires du service environnement ainsi que la police pour en discuter.
"Je respecte toutes les lois," a vociféré le ‘directeur du cirque' à une équipe de la chaîne télévisée VTM "contrairement à ces terroristes", a-t-il indiqué en visant le président de GAIA, Michel Vandenbosch, qui s'était rendu à Ternat, sur invitation de VTM et de radio1, pour s'exprimer sur ces conditions déplorables. Pourtant, le cirque avait enfermé la plupart des animaux dans les remorques des camions, volets fermés. Certains animaux étaient encore enchaînés. L'inspection du SPF Bien-être animal de la ministre Laurette Onkelinx avait déjà constaté des infractions lorsque le cirque se trouvait à Berchem-Sainte-Agathe ; celui-ci s'en était alors tiré avec un avertissement, qui n'a cependant pas eu le moindre effet. A Ternat, la police locale s'est attachée à la sécurité du président de GAIA. Mais le cirque, qui était apparemment en infraction à tous les niveaux, est demeuré en place. "Nous repartons en France," a déclaré le directeur du cirque. Un mensonge de plus puisqu'à défaut d'autorisation à Liedekerke, ils sont repartis de l'autre côté de la frontière linguistique et plus précisément à Florennes, près de Namur. "Tant que les autorités laisseront faire et se laisseront intimider par ce type de mafia, ces cirques se sentiront tout-puissants," réagit Michel Vandenbosch. "Pire encore, le fait de ne pas agir fermement à leur encontre agit véritablement comme un aimant sur les cirques pirates qui reçoivent de cette manière le signal qu'ils font ce qu'ils veulent dans les villes et les communes où ils s'installent".
SOURCE : GAÏA
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URGENCE : RECHERCHE ELEPHANTE
16/03/2007 22:52
Suite à notre dernier appel, le cirque Luigi Zavatta a pu être retrouvé dans le Sud Est de la France, une saisie a pu être organisée grâce à la Fondation Assistance Aux Animaux afin de saisir l'hippopotame, détenu illégalement. Malgré tous les accords nécessaires à la saisie, le Préfet s'est opposé à celle-ci pour "risque de trouble à l'ordre public". Ce "veto" de dernière minute a paradoxalement conduit à des démarches positives auprès du ministère de l'écologie, où un collectif d'associations, dont Code animal, a pu être reçu afin d'exposer les arguments en faveur d'une abolition de la détention des animaux dans les cirques. Nous gardons bon espoir pour libérer l'hippopotame de ce cirque et d'autres animaux.
Aujourd'hui, c'est la saisie de Kenya, éléphante d'Afrique, qui n'a pu être effective, malgré l'ordre de saisie du Procureur de la République. Le commissariat d'Amiens ayant pretexté le manque de personnel face aux menaces du cirque, hostile à ce retrait.
Ce soir, le cirque est encore là, mais Kenya a disparu. Si vous croisez un camion rouge au nom de Zavatta, et surlequel, il est écrit "Transport d'éléphants", merci de nous contacter dans les plus brefs délais au 06 14 82 21 84. (Une photo du camion se trouve en bas de page) : http://www.code-animal.com/cirques/zav_alain.htm
-------------------------------------------------------------------------------------------------------- La marche virtuelle est encore en ligne, n'hésitez pas à en parler autour de vous (pour des raisons de crédibilité, merci de ne pas la resigner) et à nous envoyer vos enquêtes.
Vous trouverez des tracts, pétitions et bannières à télécharger gratuitement sur : http://www.code-animal.com/campagne/materiel.htm
Code Animal - Zyzomys 1A, place des orphelins - 67000 Strasbourg info@code-animal.com
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Pique ou "Ankus"
25/01/2007 16:06
Ces instruments sont utilisés dans les cirques pour rappeler comme un signal contant à l'animal que sa place est celui du soumis.
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Eléphant emprisonné
25/01/2007 16:00
C'est une autre idée atroce de l'être humain, eh oui les éléphants sont connus tués pour leurs défenses mais à présent on les connait aussi pour l'esclavage du cirque.
Derrière cette fantaisie agréable qui amuse les petits et les grands se cache bien souvent le malaise de ces éléphants condamnés à rester enchaîné et martyrisé toute leur vie.
Coercition et chantage
Le dressage des éléphants dure entre 2 et 3 ans, il s’agit donc de soumettre l’animal pour l’habituer à effectuer un certain nombre d’actions (16). Cette période d’apprentissage débute lorsque l’animal est sevré. Le dressage se base sur la domination. Le dresseur s’impose en dominant du groupe et maintient la subordination de l’éléphant par le biais de la punition physique et psychologique.
Il existe une pétition pour essayer d'arrêter cela une bonne fois pour toute, (l'espoir de ce qui milite pour cette juste cause).
http://www.cirques.org/ressources/petitions_tracts.html
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